C’est une bonne question et la réponse vient en partie de l’histoire. Alors que grandissait l’Église et qu’elle se répandait partout dans le monde, elle s’est organisée à différents endroits et, même si chacune d’elle aurait dû pareille à l’autre, des différences se sont développées.
Certaines Églises se sont séparées des autres pour des raisons de doctrine. C’est-à-dire, certains sentaient que certaines parties de l’Église enseignait des hérésies – des points qui ne sont pas vrais. Ceci a éventuellement mené à la rupture. Une séparation majeure a eu lieu en 1054 entre l’Église de l’Est et celle de l’Ouest, menant à la séparation de l’Église orthodoxe de l’Église catholique.
La Réforme du 16ième siècle a mené à la formation des Églises protestantes et anglicanes, et le mouvement anabaptiste a résulté en la formation des Églises évangéliques, telles que les mennonites, les huttérites et les baptistes. Plus tard, elles sont devenues des dénominations, surtout à cause de différences dans les Églises nationales ou dans les doctrines. L’Église a continué à se subdiviser depuis lors.
Aujourd’hui, la diversité des Églises est reliée moins aux divisions et plus aux diverses expressions de la spiritualité. De nouvelles générations de croyants recherchent l’unité à travers les dénominations et abattent les barrières entre elles. Malgré les différences doctrinales, il y a plus de croyance commune que jamais sur les sujets fondamentaux, ce qui relie toutes les Églises ensemble en un corps de croyants.